Mettre le bénéficiaire au centre des actions. Cela ressemble à une injonction péremptoire face à laquelle les travailleurs et les équipes se sentent parfois démunis. Comment y arriver dans des situations où le manque de temps et de moyens réduit parfois à peau de chagrin les moments d’interaction ? Dans ces situations, l’apport d’un pair-aidant peut s’avérer utile, voire libérateur.
Un article de la revue de Bruxelles Laïque, Les Echos par Stéphane Waha